À la veille du Mois Sans Tabac, un moment crucial pour soutenir les fumeurs dans leur démarche de sevrage avec des alternatives moins nocives, il est totalement contre-productif de faire une annonce comme celle de la ministre de la Santé, Geneviève Darrieussecq, dans son interview donnée au Parisien le 29 octobre 2024. La question n’est pas d’interdire, mais de réglementer les sachets de nicotine.
Une réglementation adaptée permettrait de garantir des produits de qualité tout en évitant les dérives que l’on a déjà observées dans d’autres secteurs, comme celui du vapotage avec les « puffs ». Réguler la nicotine signifie avant tout la reconnaître comme un outil de réduction des risques, tout en encadrant son usage par des règles précises et responsables.
Avant d’interdire purement et simplement un produit qui a fait ses preuves dans des pays comme la Suède – premier pays d’Europe à avoir réduit son taux de tabagisme à 5,9 %, en partie grâce aux sachets de nicotine – il serait plus judicieux de se poser les bonnes questions : comment, de manière responsable, pouvons-nous offrir cette alternative aux fumeurs tout en protégeant nos enfants du marché noir, où l’on trouve des produits contenant jusqu’à 100 mg de nicotine par sachet ?
Il est urgent de réglementer les sachets de nicotine en appliquant :
Demander l’interdiction des sachets de nicotine reviendrait aussi à remettre en question la légitimité de la cigarette électronique, qui est une aide précieuse et une alternative bien moins dangereuse que la cigarette.
Pendant ce Mois Sans Tabac, il est essentiel d’offrir aux fumeurs des options sûres et légales pour les soutenir dans leur démarche de sevrage !
Notre passion pour l’innovation et notre engagement pour la qualité de nos produits a fait de nous l’un des leaders sur le marché.
Rejoignez-nous dès maintenant et faites partie de notre aventure passionnante !